jeudi 22 janvier 2015

De quoi rêver...

J'aime de temps en temps me faire des petits plaisirs. Il n'y a pas que les achats utiles dans la vie, mais les "j'te kiffe grave" aussi.
J'ai récemment acheté cinq livres de tricot. Encore ! me dit une petite voix intérieure... Et oui ! Outre la passion de la laine et -au cas où vous ne le savez pas- en ce moment c'est les soldes, je me retiens de ne pas claquer un budget monstrueux en achat de fils déjà connus ou de fils dont je rêve faire la connaissance... Bref. J'ai donc détourné mon attention grâce aux livres... et j'en ai acheté de nouveaux. Question budget, ça ne va pas dans le sens des économies mais question rêveries, furieuse envie d'essayer un point, imagination qui carbure... y'a pas mieux !
Je bavais depuis bien longtemps sur les stitchionary 2 à 6. J'ai déjà le 1 in french, mais les autres ne sont pas édités in french. J'ai dégoté les 2, 3 et 6 sur Amazon. Je vous passe ce que je penses d'Amazon, mais comme j'envie depuis longtemps ces petites beautés ma bonne conscience qui rêve d'égalité fiscale passe au second plan.
Et bien évidemment, faible que je suis, je me suis laissée tenter par deux autres livres qui n'avaient rien à voir avec ce dont je rêvais.
Celui-ci, je l'ai acheté rien que pour le jacquard de la couverture, tricoté en rond sur les épaules. Des créateurs nous parlent de leurs grandmother's knitting. Trèèès jolis modèles.
Et le petit dernier, pour un joli châle qu'on ne voit pas sur la couv.. Il y a bien d'autres tours de cous et chauffe-épaules à l'intérieur. Il va sans aucuns doutes me servir souvent.

A bientôt !

J'oubliais... Le stitchionary 2 est dédié aux torsades. Je le feuillette depuis que je l'ai reçu et sais déjà que je vais bidouiller un irlandais enfant avec la laine Pure Merinos Français acheté chez Bdf (fil tellement sublime qu'il mérite d'être mis en volume).

lundi 12 janvier 2015

Ne manquait plus que Mitch

Quand il a fallu trouver un nom à ce blog, en manque d'inspiration j'ai pris l'idée de la souris verte : elle rêvait d'un chat roux, un mâle, qu'elle appellerait Mitch. Mitch avait donc un toît, ne manquait plus que Mitch.
Hors point de Mitch mais Welcome ; un chaton réfugié chez la maîtresse de souris verte, à qui il manquait une famille.
Elle est arrivée chez nous mercredi dernier, toute petite, toute mimi...
Elle court partout, joue beaucoup et ronronne dès qu'on la touche...
Il faut souvent expliquer à la chérie qu'elle n'est pas une peluche qu'on balade d'un bout à l'autre de la maison, qu'elle est libre et choisira seule quand elle voudra se faire cajoler, qu'il faut du temps, de la patience... Dur dur d'accepter que le chat dont on rêvait ne peut être qu'une peluche et pas un vrai kikinou qui court partout. C'est aussi ça grandir.
Dur dur aussi pour moi de ne plus pouvoir tricoter ou même coudre le pull que je venais de finir pour choupinette : le chat bondit dès qu'elle voit balancer mon fil... Faudra-t-il que je me cache pour le coudre et pouvoir vous laisser le tuto ? La suite au prochain numéro...
Les photos ne sont pas très parlantes : le kikinou dort du sommeil du juste. J'aurai pu appeler cet article hot-cat puisqu'elle se chauffe les poils devant le poêle...

A bientôt !